Bon vent, Mery !
C'est toujours le problème de ce genre de post, on sait quoi dire mais pas comment le commencer. Et quand bien même on trouve les premières phrases, il faut ensuite trouver comment rentrer dans le vif du sujet. Il s'agit juste de trouver les mots adequat, en fait.
Alors voilà. Je tiens à de remercier, cher Meryhor, de cette année et demi passée sur le blog à charpenter l'alimentation de la Troisième Corde. Bosser avec toi a été une réelle satisfaction tant au niveau de la rigueur dont tu as fait preuve que du contenu de tes posts, ou de ta faculté à calmer les esprits trop échauffés.
Un certain plaisir, également, de voir que je pouvais compter sur toi lors de mes errements rédactoriels de ces derniers mois lorsque je voyais que mon manque de temps et/ou de courage ne plongeait pas la Troisième Corde dans une léthargie rédhibitoire précisément parce que tu avais de ton côté ce qui me manquait ici.
Ah, c'est certain, ta participation va manquer au blog, tant sur le fonctionnement rôdé depuis ton arrivée que sur la multiplicité des points de vue.
Que personne ne s'en fasse pour autant, Meryhor n'est pas invisible désormais, et poste régulièrement sur Catchbreaker où il s'illustrera encore longtemps. L'esprit critique affuté, la pertinence des raisonnements et la réactivité sans égal dont il a fait preuve ne s'envole pas pour un lieu de villégiature inacessible aux internautes qui suivent le catch (ou aux fans de catch internautes) que nous sommes tous.
Avec le recul que je peux avoir maintenant, je confesse regretter ces derniers mois durant lesquels je n'ai pas profité, pour diverses raisons, du rythme de postage et du mode de fonctionnement que je louais dans le premier paragraphe de ce post, et encore une fois, je tiens à m'excuser auprès de toi de t'avoir laissé seul avec les clés, régulièrement et sans prévenir.
C'est donc avec regret que je te vois partir, l'ami, même si, soyons honnête, ca devait arriver un jour. Je te souhaite donc le meilleur sur Catchbreaker et te remercie du fond du coeur pour ta participatio assidue et ta patience, et j'espère vivement te revoir sur cette tribune et sur la suivante.